Avant les autres, je passerai
Cette année, c’est décidé, je fais de moi ma priorité! J’apprends à dire non pour mieux me dire oui. Après tout, la vie, c’est comme l’avion: pour mieux prendre soin de ceux que j’aime, je dois mettre mon masque à oxygène en premier!
Un tout, je formerai
Pas question ici d’être ésotérique, hein. C’est juste que si, oui, c’est une bonne chose de m’occuper de mon corps, en mangeant bien et en m’activant, c’est aussi important de prendre soin de ma tête et de mon cœur: rire aux éclats, me prélasser dans un bain… Ça aussi, ça m’aide à me sentir bien. En plus, ça ne demande aucun effort! Génial, non?
De nouvelles choses, j’essaierai
La zone de confort, c’est bien beau, mais en sortir de temps en temps, c’est encore mieux! Cuisiner de nouvelles recettes, pratiquer un nouveau sport, découvrir un nouveau loisir… Je trouve ce qui m’allume et hop! une nouvelle bonne habitude vient s’ajouter à celles que j’ai déjà. En prime: je me sens vivante!
Averti·e, je serai
Hum… Après les cures de jus, le paléo, le keto, la méditation pleine conscience, le CrossFit, qu’est-ce que ce sera cette année? Peu importe, je ne suis pas un mouton: j’évite de suivre trop vite les tendances. Je préfère m’informer, m’appuyer sur des sources fiables… et miser sur les solutions qui ont fait leurs preuves!
Des objectifs réalistes, je me fixerai
Ma meilleure alliée? La théorie des petits pas. Décider de se mettre à la course quatre fois par semaine, faire de la meal prep 6 heures chaque dimanche, méditer 20 minutes le matin et se coucher à 21 h tous les soirs, tout ça en même temps? Hum. J’opte plutôt pour les changements lents et durables.
Mes bons coups, je soulignerai
Si changer ses habitudes était facile, ça se saurait, non? Je m’arme donc de patience (je sais, pas évident), je m’encourage comme si j’étais ma meilleure amie et je célèbre chacune de mes victoires (mais je garde le champagne pour les grandes occasions…).
Bref, je vise l’amélioration et non la perfection (c’est moins stressant!), la participation et non la compétition (ouste, les ambitions olympiennes!), l’évolution de mes habitudes et non la révolution (ou alors tranquille, la révolution, hein).